Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 12:28

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22 Janvier 2oo9 sur Guess-Os-YaOi 

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De ce côté Monsieur s'il vous plaît.
La soirée bat son plein, il doit être minuit et les invités continuent d'arriver. Je suis HRM, et suis donc bien obligé de les mener tous vers le salon VIP de la boite, à l'écart des gens normaux comme moi. Je suis de retour à l'entrée, l'esprit plongé dans la liste de VIP's qui doivent encore arriver. J'arrive dans les K, Kadengam, c'est quoi ce nom bon sang ?! Bon, cochons, pas encore là. Karenzinger. Ah lui ! Je l'ai vu tantôt ! Je sors de la poche de mon tablier la pile de cartes de crédit et sors la sienne, la scanne, et la glisse dans la boite avec celles qui ont déjà été scannées. Mon talkie walker grésille.
Bill, on a Kaulitz Tom au garage, tu vérifies ?
Je jette un oeil sur la liste.
Il est sur la liste, accompagné par Schäfer Gustav, Listing Georg et Jonhson David. C'est bien ça ?
Seulement o2 minutes après.
Ils ne sont pas présent et Monsieur Kaulitz demande que nous annulions leurs réservations.
Bien. Ce sera fait. Tu peux le laisser entrer.
Les minutes passent, mais toujours pas de Kaulitz à l'horizon. Je soupire profondément en levant les yeux au ciel. Je vous jure, les stars se permettent tout de nos jours ! J'allais partir me griller une clope à l'arrière du bâtiment quand je le vis surgir au bout de l'allée, encadré par o2 gorilles haut de 2m1o chacun au moins, encore un. Sauf que lui, on ne peut pas dire qu'il n'en ai pas besoin, vu le nombre de filles qui lui tournent autour ! Il arrive devant moi de sa démarche assuré, les mains dans les poches, la langue au coin des lèvres. Mes yeux restent obstinément rivés sur ma liste et mon scanner.
Bonsoir Monsieur. Si vous voulez bien suivre Manuel, il va vous amenez à votre table.
Je m'adresse alors à ses gardes du corps.
Messieurs, si vous voulez bien me ...
Non.
Je lève la tête vers lui.
Je vous demande pardon ?
C'est toi qui va me conduire à ma table.
Je hausse imperceptiblement un sourcil.
B-bien. Manuel ! Tu t'occupes de ses messieurs. Dis-je en lui indiquant les gorilles.
Il hoche de la tête et leur fait un signe de la main, les entraînant avec lui et me laissant seul avec Monsieur.
Par ici Monsieur je vous prie.
Il me suit sans broncher dans le couloir qui passe juste à côté de la salle normale de la boite. Nous étions au milieu du couloir au moment où une bande de filles apparait. Comment se fait-il qu'elles soient là celles là ?!
AHHHH ! Regardez c'est Tooooom !
Elle commence à courir vers nous. J'arrête Monsieur Kaulitz et appuie sur un bouton, de suite, de grandes plaques de verres opaques coulissent, bloquant le passage aux furies en chaleur. On peut les entendre hurler mais pas les voir, je ricane doucement. Le talkie walkie grésille.
Bill, les protections du couloir viennent de s'activer. C'est toi ?
Oui. On est dans le compartiment C, il y a des fans dans le compartiment E ou F je pense.
Bien reçu. J'envois Dave, Anthony et Kyle.
Hum, envois Karl aussi.
Combien elles sont ?!
o7 je pense ...
Ah oui quand même.
Je rigole.
Oui allez, fais ton boulot !
Chef oui Chef !
Je souris en m'appuyant contre le verre, il se place dans un coin et m'observe.
C'est toi le patron ?
Je ... suis chef du personnel Monsieur.
Tu peux me tutoyer tu sais.
Et bien je ne vais pas me le permettre Monsieur. Ce club est réputé pour son très bon personnel, le comble serait que le manager soit un vrai paysan.
Il sourit, je détourne le regard. Une dizaine de minutes passe en silence.
Karl au Patron. Qu'est ce qu'on fait des filles ?
Retirez les cartes de membres et faites les sortir par la porte E.
Bien reçu. On débloque les plaques.
A peine a-t-il fini sa phrase que les plaques se relèvent, nous cédant le passage.
Veuillez m'excuser pour ce désagrément. Dis-je en reprenant la traversée du couloir.
Vous êtes tout excusé ...
Mes yeux se lèvent au ciel discrètement alors qu'il me suit toujours. Nous montons les quelques marches et je vois enfin la porte feutrée rouge.
Benjy à Patron. Vous êtes à l'entrée ?
Non, contacte Manuel, il y est normalement.
Vous êtes très demandé à ce que je vois.
J'ai beaucoup à faire oui. Si vous voulez bien. Dis-je en lui ouvrant la porte.
Il pose ses mains sur mes hanches et m'entraîne à l'intérieur de la pièce. Je retire délicatement ses mains de mon tablier et l'amène à sa table, de suite, quelques amis viennent le saluer.
Que puis-je vous servir ? Demandais-je en sortant le Palm Pilot du tablier en question.
Mettez o7 Mojito's ! Me dit-on.
o7 Mojito's pour ...
Au nom de ...
C'est moi qui offre !
Je tourne la tête. Karenzinger, qui d'autre ...
Je vous apporte cela de suite.
Je cours presque jusqu'au bar, passe commande et pianote frénétiquement sur le plateau qui se remplit bien trop lentement à mon goût. J'ai besoin d'une clope bon sang ! J'attrape le bout de bois garni de o7 petits breuvages et me dirige vers la table. Je pose chaque verre devant une personne et attrape la carte de crédit que Kaulitz me tend, bien, une de plus.
Remettez déjà une tournée sur mon compte.
J'acquiesce. Pas besoin de préciser que lire sur les lèvres est neccessaire dans ce métier vu les décibels que produit la sono ici. Le language par monosillabes ou la langue des signes ne sont pas mal non plus ... Je refais le chemin jusqu'au bar et charge le o1e employé qui passe de la commande avant de filer dehors pour me griller une clope.
Dan à Bill. T'es où ?
Off pour o5 minutes !
Seulement voilà, la cigarette est vite finie et les o5 minutes vite passées, je me glisse donc de nouveau dans la salle et m'approche de leur table où une nouvelle peine à déposer tous les verres sur la table. Je lui glisse à l'oreille de faire une pause. Elle me lance un sourire fatigué et un " Merci Patron " avant de s'éclipser vers la salle de service. Je termine donc de servir ces messieurs avant de leur souhaiter une bonne soirée et de m'éclipser vers l'entrée.
Ellipse ~ o2h3o du matin ...
La liste est pleine maintenant et les voituriers, portiers et autres ont filés, seuls restent les serveurs, pauvres âmes en peine, et moi, l'overbooké de service. Je cours dans tous les sens depuis plus de 3o minutes parce la table de Karenzinger et de Kaulitz ne veut que moi comme serveur ! C'est bien ma veine tiens ...
o8e tournée pour Kaulitz et pour l'autre j'ai arrêté de compter à la 17e. Ils sont tous morts saouls, écroulés sur la table ou presque. Tous sauf Kaulitz qui vient de commander un Red Bull puis de l'eau. Je pose le verre devant lui et lui demande si tout va comme il le souhaite, il me sourit faiblement et répond que oui avant que je ne sois biper au bar. ... Je reviens à la table pour une ènième tournée de Karenzinger avant la piste de danse, ils vident leurs verres cul sec avant de prendre la piste d'assaut. Je souris doucement à cette vision, décadence quand tu nous tiens ... Seul Kaulitz est resté assis et m'observe rassembler la vingtaine de verres vides sur le plateau avant de passer un coup sur la table imbibée d'alcool.
Pourquoi tu fais ça ?
Pardon ?
Bon, il est mort de toute manière !
Pourquoi est ce que tu fais le serveur alors que tu es HRM ?
Je me penche à son oreille.
Vivre ce que tes propres employés vivent peut être très enrichissant des fois ...
Il sourit en coin et hoche légèrement de la tête alors que j'empoigne le plateau pour disparaître de sa vue vers le bar, je sens son regard se poser sur mes fesses. Ah les stars ... 
...
L'heure tourne et je suis toujours là. Il est quoi, o3h3o ? o4hoo ? Je ne sais pas en fait ... Comme les autres s'en sortaient sans moi, j'ai eu vite fait de quitter mon tablier et de rejoindre Tom à sa table comme il me l'avait proposé plusieurs fois pendant la soirée. Nous avons beaucoup parlé et nous dansons mtnt collé-sérré parmis la foule de VIP's dansants. Il place ses lèvres à o2 mm des miennes tout en laissant ses mains glisser habilement dans les poches arrières de mon jean. Je souris malicieusement, ce mec est incroyable ... Nos lèvres se rencontrent dans une douce caresse que je ne fais qu'amplifier en m'agrippant à sa nuque. Sa langue vient gentiment déranger la mienne alors que ses mains se balladent toujours sur mom fessier, me collant de plus en plus à lui. Il souffre bruyament dans ma bouche alors que ma cuisse se frotte contre son entre jambe. Ça promet d'être chaud tout ça ...
...
La porte de son loft de luxe claque contre le mur alors que nous entrons en nous dévorant les lèvres. Il ferme la porte du pied et me force à reculer vers ce que j'imagine être sa chambre. Mes genoux butent et nous tombons sur son lit king size tout en commençant déjà à nous déshabiller mutuellement. Chemise, t-shirt, jeans, gilet, tout vole à terre ne laissant plus sur nos corps brûlants que nos boxers déjà trempés de sueur. Ses mains descendent mon boxer lentement alors que nous nous fixons intensément, il m'embrasse une fois que je suis nu sous lui.
Bill.
Oui.
Est-ce que tu en as envie ?
Oui, bien sûr.
Pourquoi bien sûr ?
Tu es un bel homme ...
Mes mains parcourent délicatement son torse.
Tu es talentueux ...
Mes doigts jouent avec l'elastique de son sous vêtement.
Tu es intelligent ...
Ses hanches se dénudent, laissant carte blanche à mes yeux gourmands sur sa peau dorée.
Et tu es, mais alors très, très bien bâti et sexy !
Il sourit et rougit légèrement en enlevant son dernier vêtement, se recouchant ensuite entre mes jambes. Sa tête glisse dans mon cou après un bref baiser.
Convaincu ?
Il hoche de la tête.
Par ici Monsieur je vous prie ...
Son rire se change en gémissement sensuel alors que je m'empare de son sexe que je dirige vers mon anus. A peine son gland est-il en moi qu'il se redresse pour admirer mon visage encore prit par la douleur.
Bill ... ça va ?
Je hoche doucement de la tête, les yeux mi clos alors que je pousse ses petites fesses rondes contre mon bassin, laissant mon corps englober sa verge jusqu'à la garde. Il caresse quelques secondes mes côtes et hanches avec tendresse avant de se retirer lentement, séparant nos corps bouillants. Je réappuie sur son fessier, l'empêchant de se retirer entièrement. Il vient délicatement poser ses lèvres sur les miennes tout en se réenfonçant en moi lentement. Notre baiser déborde et finit dans mon cou alors que mes hanches ondulent doucement sous lui, il comprend le message et entame un calme va-et-vient, son corps glissant sur le mien. Les heures passent comme des minutes alors que sa verge caressent toujours doucement mes chaires.
Tom ... plus vite !
Il sourit discrètement tout en s'exécutant. Je me cambre vivement en tournant la tête, superbes petits pétillements au creux du ventre. Mes yeux se ferment et je laisse un gémissement à peine audible quitter mes lèvres alors que les siennes jointes à sa langue laissent un sillon humide sur la peau de mon cou offert. Mes mains jusque là toujours sur ses fesses remontent dans un effleurement le long de ses reins, allant s'agripper aux muscles un peu plus haut. Il me fait frémir, ma respiration se coupe presque alors qu'il entre dans une cadence de profondeur, claquant à chaque allée contre ma prostate, me faisant littéralement hurler et planter mes ongles dans son dos musclé. Sa joue brillante de sueur vient se loger contre la mienne sûrement rouge de plaisir avant que mon dos ne se cambre brutalement sous l'assaut de son sexe. Ma respiration se coupe alors qu'un liquide chaud se répend entre nos ventre déjà humides. Sa semence me parcourt alors et c'est l'euphorie dominante que je laisse m'embrasser, me risquant même à lui caresser le dos alors qu'il se retire. Son corps suant s'étend à côté du mien après qu'il ai retiré le petit plastique de sa verge. Je me relève après quelques minutes et enfile mon boxer, il se redresse sur les coudes.
Où est-ce que tu vas ?
Ses yeux mis clos me font fondre. Je me mets à genoux au dessus de lui et l'embrasse doucement.
Nulle part ... 
Ses mains remontent sur mes cuisses, puis mes fesses alors qu'il s'étend. Mes mains se logent sur ses joues alors que je l'embrasse toujours, m'asseyant à califourchon sur lui.
J'ai cru que ... tu t'en allais ...
J'ai faillis.
Pourquoi ?
Laisse moi te dire que tu n'es pas le o1e et que d'habitude, c'est comme ça que ça se finit.
Mais je ne suis pas comme les autres Bill ...
Je descends de sur lui et me couche à ses côtés, ma tête dans son cou.
C'est vrai. Tes lèvres m'ont dit le contraire ...
Mon pouce caresse brièvement son ventre.
Mm ... Retire moi ce boxer.
Je retire mon nez de contre sa peau et lui lance un regard interrogatif.
Ta peau est plus douce ...
Ses doigts courent le long de mon corps, jusqu'à mes hanches qu'ils dénudent sensuellement alors que sa langue joue avec la mienne. Je roule sur lui alors que le bout de tissu s'échappe de mes chevilles. Il caresse gentiment mon dos tout en baillant longuement. Ma main se pose sur sa joue alors que mon pouce passe délicatement sur ses lèvres encore rougies de notre plaisir. Il sourit, moi aussi. Je me glisse à côté de lui et pose ma tête sur son torse avant de lui souhaiter la bonne nuit. Il gémit faiblement et pose ses lèvres sur mon front en guise de réponse.
C'était bien ce soir ?
Oui, très ...
Et ben demain ce sera encore mieux = D !
J'éclate de rire en voyant sa tête si joyeuse.
Ce mec est ... idéal ...

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Par Guess' ®
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