Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 01:28


Publication :

15 Octobre sur Guess-Os-YaOi 

- - -

Le jour se lève encore une fois, mais lui ne le verra presque pas, encore une fois.
1o jours qu'il n'a pas vu, ni le levé, ni le couché du soleil, seulement quelques malheureux rayons qui passent à travers le minuscule et unique carreau à plus de o3 mètres de sa tête.
Ses poignets sont ferrés, comme un animal tandis que ses longs cheveux noirs cachent ses épaules devenues légèrement osseuses et tremblantes.
Il ne veut pas dormir, vu le rêve de la dernière fois, on le comprend ...
Flash - Back

Rêve

Bill est dans sa chambre, il est étendu sur son lit et lit un magazine.
C'est le week-end, ses parents ne sont pas là et
il profite de ce petit répit silencieux pour lire cette ... lecture si passionante ^ ^" ...
Son frère entre alors dans la pièce et s'asseoit à côté de lui sans un mot.
Bill tourne la tête vers lui, un peu surpris mais ne dit rien, lui souriant juste.
Son frère ne sourit pas mais approche son visage du sien et pose délicatement
Ses lèvres sur les siennes, retournant son frère sur le dos, se posant ensuite
A califourchon sur lui.
Bill est tétanisé, il ne sait pas quoi faire.
Soudain, il sent la main de son frère glisser dans son boxer.

Fin Flash - Back
Il secoue la tête avec le peu de force qu'il lui reste, laissant une larme coulée sur sa joue pâle.
Pourtant, le sommeil finit par prendre le dessus de son petit corps épuisé ...
A peine o2 minutes plus tard, la porte de sa 'cellule' s'ouvre sur une silhouette entourée d'une faible et pâle lueur, quelque peu divine, mais glauque aussi.
La personne avance dans la pièce puis referme la porte derrière doucement, pour ne pas réveiller son captif.
Elle avance silencieusement vers sa proie puis s'accroupit devant le corps à la respiration régulière et effleure sa joue du bout du nez, provoquant le réveil du petit endormi.
Il écarquille les yeux, respirant difficilement, se collant au mur en pierres froides pour echapper à ce contacte.
L'homme se met à genoux et pose sa main sur la joue du brun, celui ci déglutit mais ne bouge plus.
C'est avec de gros sanglots dans la voix qu'il entame la conversation, comme à chaque fois ...
Tomi ...
C'était la seule manière par laquelle il avait le droit de l'appeller ...
Oui ...
Il caresse doucement la joue blanche et humide par les larmes de l'androgyne.
Je ... J'ai faim ...
Son frère ne répondit pas mais glissa sa main sur son tatouage dans la nuque, le massant doucement.
Bill ferma les yeux et laissa aller sa tête contre le torse de son frère, soufflant doucement de bien être, voilà le o1e geste tendre depuis 1o jours ... Enfin ...
Le blond passe sa main dans les chveux gras de son double.
Tes cheveux sont sales ...
Ses longs doigts passent maintenant sous le t-shirt sale et usé du brun.
Arrête Tom ! Je ... J'ai froid ... 
Mais le dreadeux ne l'écoute pas, il le colle à lui et lui enlève les menottes, mettant à jour sa peau meutrie à force d'essayer de se libérer.
L'androgyne ne omprend pas, il vient de le garder 1o jours captif pour le libérer sans rien dire au bout !
Il ne comprend rien mais se laisse faire, trop heureux de pouvoir sortir de sa prison.
Le blond se lève.
Lève toi. Lui ordonne-t-il.
Son frère s'exécute mais retombe sur le beton froid de la cave, trop faible.
Il n'essaye même pas de se relever encore une fois, il sait qu'il n'y arrivera pas.
Alors il sent o2 mains puissantes soulever ses bras, il se hisse sur les genoux, tête baissée, il ne faut pas croiser son regard, surtout pas ça !
Le blond le porte facilement tellement il est léger, il a pas mal maigri en 1o jours seulement ...
Bill ne bouge pas.
Il n'est pas à l'aise, il n'ose pas toucher son 'Maître' ...
Celui ci ne le regarde même pas, il lui fait passer les bras autour de sa nuque et l'oblige à poser sa tête dans son cou.
Bill bronche, il ne veut pas, il sort sa tête de là et pose juste son menton sur son épaule avant de desserrer un maximum son étreinte autour de lui.
Bill ... Air distrait mais agacé.
Celui ci répond par un grognement incompréhensible mais à peine audible, ne jamais répondre trop fort mais répondre quand même ...
Est ce que tu veux vraiment que je te punisse encore une fois ?
Flash - Back

Tom s'approche et donne un verre d'eau à Bill.

Bois.

Bill tourne la tête et refuse.
o1e jour de détention.
Tom lui envoie une gifle magistrale avant de lui cracher au visage.
Son frère ne l'avait jamais frapper avant ça ...

Fin Flash - Back
Le brun se raidit et plonge à contre coeur sa tête dans le cou de son 'Maître' avant de resserrer son étreinte de ses bras et de ses jambes, secouant vivement la tête en signe de négation.
Bien ... dit Tom en posant une main dans son dos pour le soutenir. Tu apprends vite ...
Bill se raidit un peu plus à cette phrase puis hoche presque imperceptiblement de la tête.
Le transport du brun s'avère assez long et silencieux, le blond ne le laissant toujours pas sortir la tête de son cou, il ne pu même pas voir où il se trouvait exactement dans sa propre maison ...
Il finit par refermer ses petits yeux épuisés et somber dans un noir profond.
...
Quand il se réveilla, il remarqua de suite qu'il n'avait pas froid mais il n'ouvrit pas les yeux, ne bougea pas d'un cil, et pourtant ...
Ouvre les yeux.
Le brun s'exécuta tout de suite, respirant un brin plus fort à cause de la surprise.
Il reconnu vaguement la chambre de son frère, plongée dans une semi-obscurité, en regardant un peu autour de lui.
Quand il aperçu les contours de la silhouette de son double, il le fixa o1 secondes puis détourna vite les yeux, ne jamais, jamais soutenir ou croiser son regard ...
Il remarqua qu'il avait les poignets bandés mais qu'il était nu sous le drap !
Tu vas aller te laver. Je referais tes bandages après.
Bill fronça les sourcils quand il vit son jumeau se lever et s'approcher de lui, il se recroquevilla et se mit à trembler imperceptiblement.
Le blond se posta devant le lit.
A genoux Bill.
Le brun savait qu'il serait à sa merci s'il se dévoilait nu, face à ce monstre, mais il n'avait pas le choix ...
Il se plaça à genoux mais cacha son intimité derrière le drap de soie marron, les yeux fermé pour éviter toutes maladresses du regard.
Ses mains se crispèrent sur le bout de soie quand il sentit o2 mains chaudes se poser surs ses hanches, tirant doucement sur le drap pour le faire glisser jusque sur le lit, pour laisser apparaitre o2 fines et imberbes cuisses blanches.
Bill ne voulu pas céder, ses épaules se mirent à trembler quelques secondes avant qu'il ne laisse tomber le drap et une larme au passage.
Il ouvrit doucement les yeux, seuls miroirs de sa peine, se perdant dans o2 océans noisette, animé d'une flamme charnelle.
Le brun recula de suite sur le lit, tournant le dos à son frère, toujours entièrement nu.
Quand on fait une faute, toujours lui tourner le dos pour qu'il puisse nous frapper par derrière ...
Mais là, pas un seul coup, juste une respiration bouillante dans sa nuque, Tom déplace ses cheveux vers ses épaules pour pouvoir toucher le haut de son dos, descendant progressivement vers le bas.
Il l'oblige silencieusement à se remettre sur les genoux, toujours nu.
Le brun sent alors o2 mains presque brulantes sur ses hanches, presqu'aussi brulantes que les lèvres qui mouille son cou et le sexe qu'il sent dur sur ses fesses.
Il penche la tête pour empêcher Tom de marquer sa peau.
C'était du contact physique qu'il voulait, pas du contact charnel et ça, c'est tout le contraire de son frère ...
Une main du blond descend vers le sexe frémissant de Bill, le brun en a envie maintenant, mais juste un peu, pas comme l'homme collé à son dos.
Bill veut retenir cette main, mais il sait que ça lui fera mal s'il ne fait même que penser à essayer, alors il laisse venir, comme dans son rêve.
L'index de son jumeau touche juste la base de son sexe en quelques mouvements de caresses qu'il ne peut plus respirer, il va implorer.
Arrête stp ... Tom ... Murmure.
Tu veux vraiment que j'arrête ?
Caresses pubiennes délicieuses, légère chaleur ennivrante.
Ouiiiiii ! Cri de jouissance.
Non Bill, tu ne veux pas.
Bill n'en revient pas, il l'a sortit de sa cage parce qu'il voulait le toucher, il ne comprend plus. Mais il n'y arrive plus non plus depuis 1o longs jours déjà ...
...
Il ne pense plus a rien, juste à sa main, à ses doigts qui lui procurent tant de bien.
Il se penche sur le matelas en gémissant, Tom s'étend sur son dos suant, mais ça ne l'étonne pas, la proximité ...
Bill se surprend à envoyer des coups de reins, se frottant ainsi à son frère, laissant entendre de tout petits gémissements rauques provenant de la bouche du dreadeux et se perdant en echo dans l'oreille du brun.
L'androgyne se bloque. Ce n'était pas ce qu'il voulait au début !
Il voulait juste sortir de sa prison.
Non Bill, ne t'arrêtes pas ou ... je te remet en bas ...
De suite, Bill fait lentement onduler son bassin sous Tom.
Mmm ... Han Ouiii comme ça !
De petites larmes s'échappent en silence des yeux du petit brun.
Il se sent sale et trahit de devoir faire tout ça avec son propre frère, frère en lequel il avait une confiance aveugle.
Tom retire soudainement sa main de son sexe et redresse Bill avant de le retourner.
Il l'étant sur le lit, puis retire son t-shirt et son baggy avant de sa coucher sur lui, entre ses jambes.
Le brun tourne la tête, il ne veut pas que son double l'embrasse. Au moins, il aura la certitude que tout ceci n'était qu'un jeu, qu'une anvie passagère, qu'un mauvais rêve.
Mais son frère ne le voit pas de cet oeil et lui compte bien lui dévorer les lèvres et explorer sa bouche jusqu'aux amygdales. ( yeurk >.<" ! )
Il pose sauvagement sa bouche sur celle de son double et lui mordille la lèvre inférieure, lui quémandant un accès directe à sa langue, le brun pleure toujours en lui cédant le passage, brisant encore une barrière qui ne devait pas l'être.
Le dreadeux glisse doucement sa langue dans la bouche de l'androgyne, à la grande surprise de ce dernier, il se surprend même à répondre instinctivement à ce baiser, faisant sourire son aîné.
Ce dernier glisse ses mains jusqu'aux hanches du plus jeune, lui provoquant d'agréables frissons.
Ce petit jeu dura encore quelques minutes avant que le brun ne sente son frère retirer son boxer, il prit peur et décolla leurs lèvres, son frère lui sourit bizarrement avant d'entrer en lui.
Bill hurla de douleur.
...
Le brun ouvrit les yeux d'un coup.
Le silence envahit ses oreilles et il regarda autour de lui.
Il était toujours dans la cave.
Il se mit à pleurer à chaudes larmes, tout ceci n'était qu'un rêve ...
C'était des larmes de soulagement comme des larmes de tristesse, 17 jours qu'il n'avait pas quitter cette pièce ...
Il s'arrêta net de pleurer quand la lourde porte s'ouvrit.
Qu'allait-il lui arriver aujourd'hui ?

- - - 
Par Guess' ®
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 01:33


Cet Os est une de mes influences de départ pour Neffen. Il date hein = ) ...

Publication :

2O Novembre sur Guess-Os-YaOi

-
 - -
Je me promenais dans la campagne ce jour là. J'avais pris quelques jours de vacances, ma voiture, et avais foncé à l'autre bout du pays, à la recherche d'un peu de solitude.
Je m'étais installé dans une maison d'hôte et avais ensuite disparu dans la nature environnementale, cherchant un coin calme où me poser au pied d'un arbre, de préférence ancien et feuillu, pour boucler le seul et unique dossier que j'avais pris avec moi.
C'est vers 14h, après m'être arrêter dans un petit resto style western pour faire taire mon estomac que je trouva mon petit coin de paradis. Un arbre énorme au beau milieu d'une pâture à l'herbe séchée par le soleil. Le contraste entre les couleurs sombres du tronc et des feuilles avec l'herbe jaune paille était d'ailleurs frappant. Je crois que c'est ce qui m'a d'ailleurs décidé à m'asseoir au pied de celui là, et pas d'un autre.
Je franchis donc l'unique file barbelé qui me séparait de cette solitude et de ce calme tant désiré et marcha calmement jusque là, tenant mon attaché-caisse du bout des doigts. Je jettais ma veste en cuir au sol et m'assis dessus, profitant quelques sec de la vue extraordinaire avant de me fondre dans le boulot, pour ne pas beaucoup changer...
Quand je releva les yeux, il était 16h passée et j'aperçu un jeune homme, couché à plat ventre à quelques cm de moi, et je ne l'avais même pas vu arriver ! Il m'observait avec intérêt et me sourit quand je posa un regard étonné sur lui. 
Bonjour.
Euh ... Bonjour. Lui répondis-je en glissant les documents remplis entre les quartiers de cuir, que je posa à ma gauche, le regardant toujours, son être posé à ma droite.
Je le détaille pendant qu'il fait de même. Il a une voix légère, douce, tout comme son visage et son corps. Il est fait tout entier de légèreté et de finesse, ses traits faciaux rivalisent de beauté avec sa cambrure et ses mains magnifiques aux doigts et ongles impeccables.
Il porte de grandes bottes de cowboy, ainsi que le chapeau qui va avec, un minishort en jeans délavé recouvert pas une chemise à carreaux beige et blanche. Et il a des yeux chocolat, très profond. Et une bouche pulpeuse. Et aussi, et je crois que c'est ce qui m'a le plus surpris, de longs cheveux chatains lui retombant voluptueusement sur la chute de reins, juste devant un derrière, comment dire, des plus exquis.
Vous êtes ?
Euh ... Tom Trümper et v...
Bill Kaulitz. Me répondit-il tout sourire, que je lui rendis en mesure plus restreinte.
Il se rapproche de moi et pose sa tête sur mes cuisses, j'ai une bouffée de chaleur et n'ose plus bouger.
Vous venez d'où ?
Je vois dans ses yeux l'innocence, je lui donne quoi, 18-19 ans ? Mais pas beaucoup plus.
He ben Leipzig. Je suis en vacance pour quelques jours. Tu peux me tutoyer tu sais. Je ne dois pas être beaucoup plus vieux que toi.
Ah bon ? J'ai 19 ans. Excuse moi mais tu en fais plus de 3o dans ton attitude.
Ça fait si longtemps que ça que tu m'observe ? Lui demandais-je en retirant une herbe de ses cheveux soyeux.
Assez oui. Alors, quel âge as tu ? 
Je n'ai pas envie de lui mentir, on dirait la pûreté à l'état brute.
J'ai 21 ans.
Il me sourit gentiment en jouant avec un plis dans mon t-shirt.
Ton visage fait jeune mais pas la façon dont tu te comportes. Tu venais chercher quoi ici ?
Je caresse doucement ses longs cheveux, sensation de bien-être indescriptible. J'appuye ma tête contre le tronc derrière moi et ferme les yeux.
La tranquilité, le calme, la quiétude. Pas mal de chose en fait.
Il fait comme les chats, je sens sa gorge ronroner contre mon jeans et sa tête pousser un peu contre ma main, réclamant plus de caresse et d'attention. Je le détaille encore. Mais quelle beauté de la nature il est...
...
Les heures passent sans que je m'en rende compte. Nous avons finis par arrêter de parler et juste se reposer, lui sur moi. J'ai trouvé ça vraiment bizarre que ce petit être si fragile s'attache à moi comme ça, si spontannément. Je lui ai demandé pourquoi.
Tu m'as l'air quelqu'un de bien, et puis j'aime ton odeur, et tu as un visage magnifique. Fin, délicat, délicieux ...
Mes yeux étaient rester fermés et je frissonna fortement en sentant les bouts de ses doigts contre la peau de mon visage, effleurant mes pommettes, mon menton, ma mâchoire, mon nez. Puis il posa son index sur mes lèvres, ce qui me fit ouvrir les yeux.
Son visage était au-dessus du mien et il m'observait intensément, ses caresses m'aillant totalement détendu, je ne dis rien. Son doigt commença à bouger lentement sur mes lèvres qui s'ouvre un peu, comme par automatisme. Il glissa sa tête dans mon cou et se frotta contre moi, faisant toujours ce bruit de ronronnement avec sa gorge. Mon corps vibre sous les marques d'affection, attentif à chaque mouvement, même furtif, de sa peau douce et chaude sur la mienne.
Comment tu fais Bill ?
Pour ? Me répondit-il avant de glisser son corps sur le mien.
Pour ... que les gens acceptent que tu sois si proche d'eux ?
Je sais pas Tom. T'es la o1e personne avec qui je fais ça ...
Les ronronnements reprennent, mes bras se referment autour de son corps fin.
Alors pourquoi moi ?
Parce que tu es beau, tu es gentil, tu es intelligent, tu es travailleur. Et que j'ai l'intuition que tu ne cherchais pas que le calme sous mon arbre.
Ton arbre ?
J'y venais tous les jours étant plus jeunes mais certains évènements m'en ont empêché ces derniers temps ... Oh...
Un de mes bras se posa au sol et il vint se nicher contre moi.
Regarde là. Dit-il un peu après. Le soleil va se coucher.
Je tourna les yeux dans la direction indiquée et alors qu'il s'asseyait, je me posta sur les coudes.
Où est ce que tu vas ?!
Il me sourit.
Viens, on rentre.
Comment ça 'on' ?! Dis-je en m'asseyant rapidement.
Il passa derrière moi et commença à jouer avec mes dreads, puis massa doucement ma nuque. Je m'appuyais inconsciemment contre lui alors que ses mains passèrent sur mon torse, accompagnées d'une longue mèche de cheveux châtains et de sa tête qui se posa dans mon cou et il se remit à ronronner. Ce bruit était si agréable à mes oreilles que j'en avais oublier ma question, jusqu'à ce qu'il me réponde, une dizaine de minutes plus tard, alors que j'étais totalement relaxé et affalé sur lui.
Il avait posé ma tête sur ses cuisses demi nues et caressait ma gorge lentement.
La maison d'hôtes, c'est celle de mes parents. Me glissa-t-il à l'oreille avant de toucher le bout de mon nez avec sa langue.
Puis il se retira, se plaça à genou entre mes jambes et me demanda si j'étais prêt à partir. C'est quand je me redressa sur les coudes que je su ce que j'allais faire cette nuit là...
On a marché main dans la main jusqu'à ma voiture et il m'a ensuite indiqué le chemin jusqu'à chez lui. Pendant le trajet, il jouait avec mes dreads et les mêlait à ses propres cheveux en m'informant quelques fois de détails, comme quoi on avait presque la même couleur ou la même longueur. De bêtes petites choses qui rendirent le trajet bien plus agréable.
Arrivé devant la maison d'hôtes, nous sortîmes rapidement de la voiture et nous dirigâmes vers l'entrée. J'emmena Bill jusqu'à ma chambre et le laissa entrer avant de refermer derrière lui. Il fit le tour des o2 pièces, sans doute pour vérifier que tout était en état et propre puis il se posta devant moi.
Bien, tout est ok. Je vais te laisser. Dit-il en sortant une clef d'une poche arrière de son short.
Tu ne veux pas rester un peu ?
Il me sourit.
Ce sera pour une autre fois Tom ...
Je m'approcha doucement de lui et posta mes lèvres le plus près possible des siennes, sans pour autant les toucher. Une de mes mains glisse le long de son bras l'effleurant à peine avant de faire passer la clef de ses doigts aux miens, très délicatement. Il penche imperceptiblement la tête sur le côté et mordille gentiment ma lèvre inférieure. Je glisse doucement la clef dans une poche arrière de mon jeans alors qu'il se colle à moi et emprisonne mon cou de ses bras.
Je colle son bassin au mien tout en quémandant l'accès à sa langue, il me cède le passage et je suis fort surpris de découvrir une petite bille de metal orner sa langue. Il profite de ma surprise pour entamer un baiser fougueux, glissant une main sur mon torse, puis sous mon t-shirt. C'est là que je me rend compte qu'il est un peu plus petit que moi, et qu'il se place sur la pointe des pieds pour pouvoir m'embrasser, c'est trop mignon *_* !
...
Il est entièrement nu devant moi, allongé sur mon lit, les jambes outrageusement écartées et la peau perlée de sueur. Je l'admire, il est magnifique, une beauté de la nature.
Tooom ...
Il me sort de mes rêveries par une petite plainte insistante. Il se redresse et lèche mes abdos, délicatement, en me regardant droit dans les yeux. Il fait glisser mon boxer au sol avant de m'attirer à lui et de me coucher entre ses jambes. Je soupire de bien être dans son cou avant de me relever un peu et de glisser sur lui, Traçant avec ma langue un sillon humide jusqu'à son nombril. Il se cambre et gemit faiblement alors que j'embrasse l'intérieur de sa cuisse, puis ensuite ses bourses, et enfin son sexe, que je me permet de titiller avec mon propre piercing à la langue, en plus de mon piercing au labret, m'attardant exagérément sur sa fente surlaquelle je fais inlassablement glisser la petite bille de metal. Il halète et agrippe mon bras alors que je passe un grand coup de langue sur sa verge, j'entrelace nos doigts et je le vois sourire alors qu'il m'observe et me caresse les cheveux. Je me redresse mais ne lache pas sa main, il soulève ses jambes et pose ses chevilles sur mes épaules, me provoquant un grand frisson en découvrant qu'il sait prendre des initiatives.
Je le pénètre lentement, profitant de sa chaleur qui englobe maintenant voluptueusement ma verge jusqu'à la garde. Il se mord la lèvre en serrant mes doigts plus fort.
Ca va Bill ?
Je ... Oui ! Con-continue ...
Une larme solitaire apparaît sur sa joue. Je me penche et la lappe du bout de la langue. Il m'observe, surpris alors que je m'étend sur lui après avoir retiré ses jambes de mes épaules.
Pourquoi tu m'as pas dit que c'était ta o1e fois ? Lui demandais-je en lui suçant le cou.
Je ... Je sais pas. T'es faché ?
Non. Dis-je en continuant mes douces caresses linguales. Mais j'aurais sûrement été plus doucement. Je t'aurai traité en vrai petite vierge !
Il rigole avant de me laisser l'embrasser.
Et maintenant ? Je continue ?
Il n'hésite même pas.
Oui.
Je lui souris doucement avant de laisser ma langue jouer avec la sienne, échange buccale délicat. Je fais bouger doucement mes reins, le préparant au va-et-vient à venir. Il ne proteste pas et semble même apprécier à en juger par la moue qu'il affiche ...
J'entame le fameux mouvement quelques min plus tard.
Han oui Tom !
Je souris.
Gémis encore.
Refais le moi encore.
Je donne un coup un peu plus brutal.
Han oui comme ça !
Encore un.
HAAN ! Tooom !
J'aime ça. Et il est encore plus beau comme ça ...
Je plonge ma langue dans sa bouche et y vais plus franchement. Je la laisse glisser dans son cou, il ronronne. 
Tu aimes ... Petit Chat ?
Toom ! Oui, j'aime ... beaucoup ! Mmmm ...
Ma main glisse dans ses cheveux couleur soleil avec les reflets de la lune, il ronronne plus fort.
Gentil Petit Chat ...
To-oh-om ! Han ! Ne me ... laisse pas c-comme ça !
Jamais je ne ferais ça.
Coup brutal, bestial. Sa bouche et ses cuisses s'ouvrent plus.
F-fais quelque ch-chose !
Il se tortille dans tous les sens, sa respiration s'accélère.
Si tu savais comme tu es beau Bill ...
Il attrape o2 de mes doigts et les porte à sa bouche pour les sucer avidement. Les coups de bassins fusent, il hurle et lâche mes doigts, fermant fort les yeux pour retenir des larmes de jouissance. C'est là que j'ai eu l'orgasme le plus puissant de toute ma vie. Moment magique ...
Mon plus beau souvenir de tout ça ? C'est simple.
Pas besoin de souvenir, j'ai ramené Bill à Leipzig avec moi ...

- - - 
Par Guess' ®
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 12:25


C'est le seul & unique Tom-Dominated que j'ai écrit !
En espérant que ça vous plaise = ) !


Publication :

16 Décembre 2oo8 sur Guess-Os-YaOi 

- - -

 Un petit vent frais me caresse les cheveux alors que le soleil rayonne sur ma peau, la faisant légèrement brunir. Je suis étendu sur un transat au bord de notre piscine a Bill et moi, c'est le o1e jour de bon temps de l'année et il fait tellement chaud que David nous a liberes a midi, trop chaud pour travailler en studio ...
Je sens quelques gouttes d'eau tomber sur mon visage, j'ouvre doucement les yeux en plaçant une main au-dessus de ceux ci et decouvre un Bill souriant a la Colgate au-dessus de moi. Je lui souris gentiment en retour et il vient ensuite poser délicatement ses lèvres sur les miennes, je lui rend son baiser en entrelacant nos doigts, lui caressant la paume de la main du pouce. Sa langue s'active plus ardement, venant titiller mon nouveau piercing a la langue avec le sien. J'aime quand il est comme ça : tendre, fougueux et réceptif.
Il se pose a califourchon sur moi, déposant doucement ses mains sur mon torse, il glisse sa tête dans mon cou, lechouillant doucement. Je fond littéralement, j'adore quand il fait ça *_* !
Tu viens dans l'eau avec moi ?
Je soupire doucement. Comment voulez-vous que je lui refuse quelque chose ?!
D'accord = ) ...
Il gigote joyeusement sur moi tout en laissant ses mains glisser sur mon torse ébouillante par le soleil, sa petite coquine de langue s'activant plus ardement dans mon cou.
Han !
Sa main a glisse sous mon short de surf, effleurant exagérément mon sexe. Il embrasse mon torse puis se lève et marche vers la piscine, glissant ensuite voluptueusement dans l'eau. Je le rejoins quelques minutes plus tard, avec un peu plus de difficultés ...
Une fois dans l'eau, il glisse dans mon dos et se colle a moi, j'agrippe ses bras bras alors qu'il me câline tendrement, c'est magnifique ...
Je me retourne vers lui et l'embrasse amoureusement, il m'envoit un petitcoup de bassin, Gott ! Bill, t'es qu'un gros pervers x D !
Tu m'as fait venir dans l'eau sans arrières pensées bien sur x ) ?
Bien sur que si voyons u_u ...
Il avoue en plus ! Bill, Bill, Bill x ) ...
Il me fait reculer jusqu'au bord du bassin avant de plaquer ses levres sur les miennes, faisant directement céder la barrière de mes dents.
Sa langue tourne agréablement autour de la mienne, me provoquant de longs frissons alors que je glisse mes mains dans sa nuque. Il baisse mon short, ainsi que le sien et soulève mes jambes, je les enroule automatiquement autour de son bassin, attendant le moment fatidique, ce moment si délicieux même si encore un peu douloureux ... Il glisse en moi, son corps s'emboitant parfaitement dans le mien alors que je renverse ma tête en arrière, lui offrant mon cou qu'il dévore avidement. J'aime cette sensation ... de partage, d'appartenance que j'ai dans ces moments la. Je lui appartiens et il fait ce qu'il veut de moi, de mon corps.
Mmmm, t'es bon Tom ...
Je ... sais !
Vantard va !
Puissant coup de reins.
HAAAN ouiiii !
Mmm, t'avoues c'est ... bien !
Ça peut paraître bizarre, mais Bill aime bien me parler quand il me fait l'amour. Il n'aime d'ailleurs pas que je dise qu'il me prend. Il dit que c'est irrespectueux envers mon corps, je pense qu'il est sérieusement en train de virer bouddhiste = J ...
Han ! Alors ... c'était une bonne idée la ... piscine non ?
OUIII ! Très bo-nne idée !
Ses accoupq ne sont pas rapides mais extrêmement puissants, ce qui me fait completement perdre pied, dans tous les sens du terme x ) ...
Il emprisonne ma langue et mes lèvres pour entreprendre un autre baiser fougueux, j'aime. J'aime beaucoup même ...
Il laisse ses mains jusque la posées sur ma chute de reins glisser jusqu'à mes fesses, parcourant cette étendue si sensible en cet instant. Je frissonne, j'ai chaud, j'ai froid. Je plaque mon torse au sien alors que ses mouvements tout simplement ennivrants se font plus fréquents, plus violents. Je gémis dans son cou alors qu'il me déverse une litanie de mots d'amour à l'oreille. Il aime autant me faire l'amour avec ses mots qu'avec son sexe je pense x ) ...
Han Bill ! Plus ! Plus vite, plus fort !
Je peux pa-as To-om ! Dit-il en rigolant légèrement.
Je souris aussi, mais juste parce qu'il est horriblement sex quand il prend du plaisir et Gott, qu'est-ce qu'il sait y faire ! Je me mord la lèvre, fermant les yeux pour apprécier encore un peu plus, juste encore un peu ... Il attrape mon sexe et me masturbe à un rythme éffréné malgré l'eau, me pénétrant toujours aussi puissement. C'est trop, trop pour moi. Trop de plaisir, trop de jouissance, oui, beaucoup trop !
Je sens un puissant jet me traverser alors qu'il mordille mon cou pour se calmer, me laissant sûrement une trace bleuté. Il me garde contre lui encore quelques minutes avant de m'écarter les cuisses et de se retirer très doucement. Mon intimité mise à vif réagit. Dernier léger gémissement, preuve d'une dernière provocation de plaisir qu'il me fait.
Il rattrape nos shorts de surf qui nageaient seul un peu plus loin et enfile calmement le sien. Je fais de même, encore o1 fois, avec un peu plus de difficultés ...
Il se colle à moi et passe ses mains sur mes hanches avant de les positioner sur mes fesses, ce qui me fait frémir, encore o1 fois. Je passe les mains dans sa nuque et pose ma tête dans son cou, j'aime entendre sa voix vibrer quand il me parle ...
Ca va ? Me demande-t-il une dizaine de minutes plus tard.
Euh ... Oui, pourquoi ?
Ben, je m'inquiète pour ton petit anus délicat u_u ...
Oh, qu'il est mignon x ) ...
Ne t'inquiète pas ! Il va bien lui x P !
Nickel alors = ) !
Et moi, tu t'en fous de comment je vais é_è ?
Non, mais je sais que tu vas bien puisque je viens de te faire l'amour = D !
Mon mec est désespérant -.-" ...

- - - 
Par Guess' ®
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 12:28

Publication :

22 Janvier 2oo9 sur Guess-Os-YaOi 

- - -

De ce côté Monsieur s'il vous plaît.
La soirée bat son plein, il doit être minuit et les invités continuent d'arriver. Je suis HRM, et suis donc bien obligé de les mener tous vers le salon VIP de la boite, à l'écart des gens normaux comme moi. Je suis de retour à l'entrée, l'esprit plongé dans la liste de VIP's qui doivent encore arriver. J'arrive dans les K, Kadengam, c'est quoi ce nom bon sang ?! Bon, cochons, pas encore là. Karenzinger. Ah lui ! Je l'ai vu tantôt ! Je sors de la poche de mon tablier la pile de cartes de crédit et sors la sienne, la scanne, et la glisse dans la boite avec celles qui ont déjà été scannées. Mon talkie walker grésille.
Bill, on a Kaulitz Tom au garage, tu vérifies ?
Je jette un oeil sur la liste.
Il est sur la liste, accompagné par Schäfer Gustav, Listing Georg et Jonhson David. C'est bien ça ?
Seulement o2 minutes après.
Ils ne sont pas présent et Monsieur Kaulitz demande que nous annulions leurs réservations.
Bien. Ce sera fait. Tu peux le laisser entrer.
Les minutes passent, mais toujours pas de Kaulitz à l'horizon. Je soupire profondément en levant les yeux au ciel. Je vous jure, les stars se permettent tout de nos jours ! J'allais partir me griller une clope à l'arrière du bâtiment quand je le vis surgir au bout de l'allée, encadré par o2 gorilles haut de 2m1o chacun au moins, encore un. Sauf que lui, on ne peut pas dire qu'il n'en ai pas besoin, vu le nombre de filles qui lui tournent autour ! Il arrive devant moi de sa démarche assuré, les mains dans les poches, la langue au coin des lèvres. Mes yeux restent obstinément rivés sur ma liste et mon scanner.
Bonsoir Monsieur. Si vous voulez bien suivre Manuel, il va vous amenez à votre table.
Je m'adresse alors à ses gardes du corps.
Messieurs, si vous voulez bien me ...
Non.
Je lève la tête vers lui.
Je vous demande pardon ?
C'est toi qui va me conduire à ma table.
Je hausse imperceptiblement un sourcil.
B-bien. Manuel ! Tu t'occupes de ses messieurs. Dis-je en lui indiquant les gorilles.
Il hoche de la tête et leur fait un signe de la main, les entraînant avec lui et me laissant seul avec Monsieur.
Par ici Monsieur je vous prie.
Il me suit sans broncher dans le couloir qui passe juste à côté de la salle normale de la boite. Nous étions au milieu du couloir au moment où une bande de filles apparait. Comment se fait-il qu'elles soient là celles là ?!
AHHHH ! Regardez c'est Tooooom !
Elle commence à courir vers nous. J'arrête Monsieur Kaulitz et appuie sur un bouton, de suite, de grandes plaques de verres opaques coulissent, bloquant le passage aux furies en chaleur. On peut les entendre hurler mais pas les voir, je ricane doucement. Le talkie walkie grésille.
Bill, les protections du couloir viennent de s'activer. C'est toi ?
Oui. On est dans le compartiment C, il y a des fans dans le compartiment E ou F je pense.
Bien reçu. J'envois Dave, Anthony et Kyle.
Hum, envois Karl aussi.
Combien elles sont ?!
o7 je pense ...
Ah oui quand même.
Je rigole.
Oui allez, fais ton boulot !
Chef oui Chef !
Je souris en m'appuyant contre le verre, il se place dans un coin et m'observe.
C'est toi le patron ?
Je ... suis chef du personnel Monsieur.
Tu peux me tutoyer tu sais.
Et bien je ne vais pas me le permettre Monsieur. Ce club est réputé pour son très bon personnel, le comble serait que le manager soit un vrai paysan.
Il sourit, je détourne le regard. Une dizaine de minutes passe en silence.
Karl au Patron. Qu'est ce qu'on fait des filles ?
Retirez les cartes de membres et faites les sortir par la porte E.
Bien reçu. On débloque les plaques.
A peine a-t-il fini sa phrase que les plaques se relèvent, nous cédant le passage.
Veuillez m'excuser pour ce désagrément. Dis-je en reprenant la traversée du couloir.
Vous êtes tout excusé ...
Mes yeux se lèvent au ciel discrètement alors qu'il me suit toujours. Nous montons les quelques marches et je vois enfin la porte feutrée rouge.
Benjy à Patron. Vous êtes à l'entrée ?
Non, contacte Manuel, il y est normalement.
Vous êtes très demandé à ce que je vois.
J'ai beaucoup à faire oui. Si vous voulez bien. Dis-je en lui ouvrant la porte.
Il pose ses mains sur mes hanches et m'entraîne à l'intérieur de la pièce. Je retire délicatement ses mains de mon tablier et l'amène à sa table, de suite, quelques amis viennent le saluer.
Que puis-je vous servir ? Demandais-je en sortant le Palm Pilot du tablier en question.
Mettez o7 Mojito's ! Me dit-on.
o7 Mojito's pour ...
Au nom de ...
C'est moi qui offre !
Je tourne la tête. Karenzinger, qui d'autre ...
Je vous apporte cela de suite.
Je cours presque jusqu'au bar, passe commande et pianote frénétiquement sur le plateau qui se remplit bien trop lentement à mon goût. J'ai besoin d'une clope bon sang ! J'attrape le bout de bois garni de o7 petits breuvages et me dirige vers la table. Je pose chaque verre devant une personne et attrape la carte de crédit que Kaulitz me tend, bien, une de plus.
Remettez déjà une tournée sur mon compte.
J'acquiesce. Pas besoin de préciser que lire sur les lèvres est neccessaire dans ce métier vu les décibels que produit la sono ici. Le language par monosillabes ou la langue des signes ne sont pas mal non plus ... Je refais le chemin jusqu'au bar et charge le o1e employé qui passe de la commande avant de filer dehors pour me griller une clope.
Dan à Bill. T'es où ?
Off pour o5 minutes !
Seulement voilà, la cigarette est vite finie et les o5 minutes vite passées, je me glisse donc de nouveau dans la salle et m'approche de leur table où une nouvelle peine à déposer tous les verres sur la table. Je lui glisse à l'oreille de faire une pause. Elle me lance un sourire fatigué et un " Merci Patron " avant de s'éclipser vers la salle de service. Je termine donc de servir ces messieurs avant de leur souhaiter une bonne soirée et de m'éclipser vers l'entrée.
Ellipse ~ o2h3o du matin ...
La liste est pleine maintenant et les voituriers, portiers et autres ont filés, seuls restent les serveurs, pauvres âmes en peine, et moi, l'overbooké de service. Je cours dans tous les sens depuis plus de 3o minutes parce la table de Karenzinger et de Kaulitz ne veut que moi comme serveur ! C'est bien ma veine tiens ...
o8e tournée pour Kaulitz et pour l'autre j'ai arrêté de compter à la 17e. Ils sont tous morts saouls, écroulés sur la table ou presque. Tous sauf Kaulitz qui vient de commander un Red Bull puis de l'eau. Je pose le verre devant lui et lui demande si tout va comme il le souhaite, il me sourit faiblement et répond que oui avant que je ne sois biper au bar. ... Je reviens à la table pour une ènième tournée de Karenzinger avant la piste de danse, ils vident leurs verres cul sec avant de prendre la piste d'assaut. Je souris doucement à cette vision, décadence quand tu nous tiens ... Seul Kaulitz est resté assis et m'observe rassembler la vingtaine de verres vides sur le plateau avant de passer un coup sur la table imbibée d'alcool.
Pourquoi tu fais ça ?
Pardon ?
Bon, il est mort de toute manière !
Pourquoi est ce que tu fais le serveur alors que tu es HRM ?
Je me penche à son oreille.
Vivre ce que tes propres employés vivent peut être très enrichissant des fois ...
Il sourit en coin et hoche légèrement de la tête alors que j'empoigne le plateau pour disparaître de sa vue vers le bar, je sens son regard se poser sur mes fesses. Ah les stars ... 
...
L'heure tourne et je suis toujours là. Il est quoi, o3h3o ? o4hoo ? Je ne sais pas en fait ... Comme les autres s'en sortaient sans moi, j'ai eu vite fait de quitter mon tablier et de rejoindre Tom à sa table comme il me l'avait proposé plusieurs fois pendant la soirée. Nous avons beaucoup parlé et nous dansons mtnt collé-sérré parmis la foule de VIP's dansants. Il place ses lèvres à o2 mm des miennes tout en laissant ses mains glisser habilement dans les poches arrières de mon jean. Je souris malicieusement, ce mec est incroyable ... Nos lèvres se rencontrent dans une douce caresse que je ne fais qu'amplifier en m'agrippant à sa nuque. Sa langue vient gentiment déranger la mienne alors que ses mains se balladent toujours sur mom fessier, me collant de plus en plus à lui. Il souffre bruyament dans ma bouche alors que ma cuisse se frotte contre son entre jambe. Ça promet d'être chaud tout ça ...
...
La porte de son loft de luxe claque contre le mur alors que nous entrons en nous dévorant les lèvres. Il ferme la porte du pied et me force à reculer vers ce que j'imagine être sa chambre. Mes genoux butent et nous tombons sur son lit king size tout en commençant déjà à nous déshabiller mutuellement. Chemise, t-shirt, jeans, gilet, tout vole à terre ne laissant plus sur nos corps brûlants que nos boxers déjà trempés de sueur. Ses mains descendent mon boxer lentement alors que nous nous fixons intensément, il m'embrasse une fois que je suis nu sous lui.
Bill.
Oui.
Est-ce que tu en as envie ?
Oui, bien sûr.
Pourquoi bien sûr ?
Tu es un bel homme ...
Mes mains parcourent délicatement son torse.
Tu es talentueux ...
Mes doigts jouent avec l'elastique de son sous vêtement.
Tu es intelligent ...
Ses hanches se dénudent, laissant carte blanche à mes yeux gourmands sur sa peau dorée.
Et tu es, mais alors très, très bien bâti et sexy !
Il sourit et rougit légèrement en enlevant son dernier vêtement, se recouchant ensuite entre mes jambes. Sa tête glisse dans mon cou après un bref baiser.
Convaincu ?
Il hoche de la tête.
Par ici Monsieur je vous prie ...
Son rire se change en gémissement sensuel alors que je m'empare de son sexe que je dirige vers mon anus. A peine son gland est-il en moi qu'il se redresse pour admirer mon visage encore prit par la douleur.
Bill ... ça va ?
Je hoche doucement de la tête, les yeux mi clos alors que je pousse ses petites fesses rondes contre mon bassin, laissant mon corps englober sa verge jusqu'à la garde. Il caresse quelques secondes mes côtes et hanches avec tendresse avant de se retirer lentement, séparant nos corps bouillants. Je réappuie sur son fessier, l'empêchant de se retirer entièrement. Il vient délicatement poser ses lèvres sur les miennes tout en se réenfonçant en moi lentement. Notre baiser déborde et finit dans mon cou alors que mes hanches ondulent doucement sous lui, il comprend le message et entame un calme va-et-vient, son corps glissant sur le mien. Les heures passent comme des minutes alors que sa verge caressent toujours doucement mes chaires.
Tom ... plus vite !
Il sourit discrètement tout en s'exécutant. Je me cambre vivement en tournant la tête, superbes petits pétillements au creux du ventre. Mes yeux se ferment et je laisse un gémissement à peine audible quitter mes lèvres alors que les siennes jointes à sa langue laissent un sillon humide sur la peau de mon cou offert. Mes mains jusque là toujours sur ses fesses remontent dans un effleurement le long de ses reins, allant s'agripper aux muscles un peu plus haut. Il me fait frémir, ma respiration se coupe presque alors qu'il entre dans une cadence de profondeur, claquant à chaque allée contre ma prostate, me faisant littéralement hurler et planter mes ongles dans son dos musclé. Sa joue brillante de sueur vient se loger contre la mienne sûrement rouge de plaisir avant que mon dos ne se cambre brutalement sous l'assaut de son sexe. Ma respiration se coupe alors qu'un liquide chaud se répend entre nos ventre déjà humides. Sa semence me parcourt alors et c'est l'euphorie dominante que je laisse m'embrasser, me risquant même à lui caresser le dos alors qu'il se retire. Son corps suant s'étend à côté du mien après qu'il ai retiré le petit plastique de sa verge. Je me relève après quelques minutes et enfile mon boxer, il se redresse sur les coudes.
Où est-ce que tu vas ?
Ses yeux mis clos me font fondre. Je me mets à genoux au dessus de lui et l'embrasse doucement.
Nulle part ... 
Ses mains remontent sur mes cuisses, puis mes fesses alors qu'il s'étend. Mes mains se logent sur ses joues alors que je l'embrasse toujours, m'asseyant à califourchon sur lui.
J'ai cru que ... tu t'en allais ...
J'ai faillis.
Pourquoi ?
Laisse moi te dire que tu n'es pas le o1e et que d'habitude, c'est comme ça que ça se finit.
Mais je ne suis pas comme les autres Bill ...
Je descends de sur lui et me couche à ses côtés, ma tête dans son cou.
C'est vrai. Tes lèvres m'ont dit le contraire ...
Mon pouce caresse brièvement son ventre.
Mm ... Retire moi ce boxer.
Je retire mon nez de contre sa peau et lui lance un regard interrogatif.
Ta peau est plus douce ...
Ses doigts courent le long de mon corps, jusqu'à mes hanches qu'ils dénudent sensuellement alors que sa langue joue avec la mienne. Je roule sur lui alors que le bout de tissu s'échappe de mes chevilles. Il caresse gentiment mon dos tout en baillant longuement. Ma main se pose sur sa joue alors que mon pouce passe délicatement sur ses lèvres encore rougies de notre plaisir. Il sourit, moi aussi. Je me glisse à côté de lui et pose ma tête sur son torse avant de lui souhaiter la bonne nuit. Il gémit faiblement et pose ses lèvres sur mon front en guise de réponse.
C'était bien ce soir ?
Oui, très ...
Et ben demain ce sera encore mieux = D !
J'éclate de rire en voyant sa tête si joyeuse.
Ce mec est ... idéal ...

- - - 
Par Guess' ®
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus